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vendredi 28 février 2014

Centrafrique : l'Union européenne pourrait déployer des troupes pour fin avril

Général Philippe Pontiès Chef de l'opération de l'Union Européenne en RCA

L'opération militaire de l'Union européenne (UE) en Centrafrique semble bien longue à se dessiner.Une nouvelle conférence, dite de « génération de forces », s'est tenue jeudi 27 février à Bruxelles, à l'effet sonder les intentions des pays membres quant à leur éventuelle participation au bourbier centrafricain qui ne cesse de s'enliser. Nombre de nos Etats restent engagés, trois parmi eux même déjà arrêté leur décision, mais le général Philippe Pontiès, commandant de l'opération, n'est toujours pas en mesure d'annoncer précisément à ce jour combien de militaires supplémentaires seront engagés dans cette opération qui paraît de plus en plus compliquée qu'elle n'en avait l'air au tout début. Le général estime que le nombre des soldats mis à sa disposition pourrait osciller en 800 et 1000 hommes. Sans plus. Pourtant,  on avait évoqué initialement quelque 500 soldats, compte tenu du peu d'enthousiasme de certains pays européens à se lancer dans la bataille. A la mi-février déjà, Mme Catherine Ashton, Haute représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères, évoquait la possibilité de rassembler 1000 hommes. 

PRÊTER MAIN FORTE AUX TROUPES FRANÇAISES EN CENTRAFRIQUE
Les questions logistiques souvent posées qui constituaient un véritable caillou dans la chaussure de nos soldats commencent à trouver des solutions. Ainsi, l'opération a enfin élu domicile dans son propre quartier général, à Larissa, en Grèce. Reste maintenant à résoudre une question qui revient au goût du jour : le transport aérien.
Si la communauté trouvé une réponse à cette question d'ici au 7 mars,  Il faudra  enfin lancer pour de vrai, l'opération Eufor-RCA  en espérant que d'ici fin Avril, la boucle sera enfin bouclée. Si les troupes européennes parviennent un tant soit peu à sécuriser les abords de l'aéroport de Bangui et de deux districts de la capitale centrafricaine, le moins que l'on puisse dire est qu'elles auront véritable réussi à soulager les soldats français de l'opération « Sangaris »  pour lesquels la sortie du tunnel en Centrafrique ne semble manifestement pas être pour demain.



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1 commentaire:

  1. Les troupes françaises ont véritablement besoins d'aide car la situation comme vous dites est enlisée et sa fin n'est pas pour demain.

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