Le Président français François Hollande a rappelé ce mardi, lors de sa conférence de presse à l’Elysée, que tout n’est pas réglé en Centrafrique, où l’ancien Président Michel Djotodia a été démissionné par ses pairs d'Afrique centrale vendredi dernier, sous la pression de Paris.
Le président Hollande a été clair lors de sa conférence de presse de ce mardi, à l’Elysée. « Tout n’est pas réglé en Centrafrique », a-t-il déclaré, bien que l’ex-Président centrafricain Michel Djotodia ait été poussé vers la sortie ce vendredi, sous la pression de Paris et des chefs d’Etat de l’Afrique centrale. Le président français a levé un pan de voile sur les véritables raisons de l’intervention française en Centrafrique en déclarant que « la France a été appelée par une résolution du Conseil de sécurité et par les Africains pour éviter une catastrophe humanitaire ».
La France n’a pas vocation à choisir de Président en République Centrafricaine
A en croire François Hollande, beaucoup a certes été déjà fait en Centrafrique mais il beaucoup reste encore à faire dans ce pays. « Je le réaffirme, nous n’avons pas terminé le travail, nous allons le continuer dans un contexte différent », a-t-il martelé, assurant que l’Union européenne va apporter son soutien « et qu’une force de maintien de la paix viendra prendre le relais.
Il convient de rappeler que 1 600 militaires français épaulent les quelques 4 000 soldats africains présents sur le théâtre des opérations. Selon Hollande, lorsque la mission aura atteint le succès attendu, les soldats français pourront enfin rentrer au bercail.
Le président François Hollande a également évoqué les initiatives prises en Centrafrique, où un Conseil national de transition a été formé. Il est chargé d’ici quinze jours de désigner un nouveau Président de transition. Et, à en croire chef de l'Etat français, « la France n’a pas vocation à choisir de dirigeant en Centrafrique. Ce temps est révolu. La France aide, mais ne se substitue pas » a t-il ajouté.
On ne demande qu'à le croire!
La France n’a pas vocation à choisir de Président en République Centrafricaine
A en croire François Hollande, beaucoup a certes été déjà fait en Centrafrique mais il beaucoup reste encore à faire dans ce pays. « Je le réaffirme, nous n’avons pas terminé le travail, nous allons le continuer dans un contexte différent », a-t-il martelé, assurant que l’Union européenne va apporter son soutien « et qu’une force de maintien de la paix viendra prendre le relais.
Il convient de rappeler que 1 600 militaires français épaulent les quelques 4 000 soldats africains présents sur le théâtre des opérations. Selon Hollande, lorsque la mission aura atteint le succès attendu, les soldats français pourront enfin rentrer au bercail.
Le président François Hollande a également évoqué les initiatives prises en Centrafrique, où un Conseil national de transition a été formé. Il est chargé d’ici quinze jours de désigner un nouveau Président de transition. Et, à en croire chef de l'Etat français, « la France n’a pas vocation à choisir de dirigeant en Centrafrique. Ce temps est révolu. La France aide, mais ne se substitue pas » a t-il ajouté.
On ne demande qu'à le croire!
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