Selon "Le Monde", l'actrice a déposé "en toute discrétion" une plainte au pénal pour "atteinte à l'intimité de la vie privée" contre le magazine people qui a révélé en janvier sa relation secrète avec le chef de l'État.
Selon les informations publiées ce mardi 4 février par le journal Le Monde, la plainte répond à la publication, par Closer le 17 janvier, de photos de l'actrice la représentant conduisant sa voiture, une Citroën blanche. Elle se fonde sur l'article 226-1 du codé pénal, qui punit d'un an d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende, "le fait, au moyen d'un procédé quelconque, de porter volontairement atteinte à l'intimité de la vie privée d'autrui, notamment en fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l'image d'une personne se trouvant dans un lieu privée", ce qui est le cas d'un véhicule.
En janvier, l'actrice avait déjà décidé d'attaquer le magazine people pour atteinte à la vie privée, mais au civil cette fois. Elle réclame 50.000 euros de dommages et intérêt et 4.000 euros pour les coûts de procédure.
Lors de sa conférence de presse de janvier, François Hollande avait fait part deson "indignation totale" après la publication du dossier de Closer, mais avait annoncé qu'il n'attaquerait finalement pas en justice l'hebdomadaire people. Il avait expliqué que, protégé lui-même par une immunité judiciaire durant son mandat, il ne souhaitait pas attaquer en justice, contrairement à ce qu'avait fait son prédécesseur Nicolas Sarkozy à plusieurs reprises entre 2007 et 2012.
En janvier, l'actrice avait déjà décidé d'attaquer le magazine people pour atteinte à la vie privée, mais au civil cette fois. Elle réclame 50.000 euros de dommages et intérêt et 4.000 euros pour les coûts de procédure.
Lors de sa conférence de presse de janvier, François Hollande avait fait part deson "indignation totale" après la publication du dossier de Closer, mais avait annoncé qu'il n'attaquerait finalement pas en justice l'hebdomadaire people. Il avait expliqué que, protégé lui-même par une immunité judiciaire durant son mandat, il ne souhaitait pas attaquer en justice, contrairement à ce qu'avait fait son prédécesseur Nicolas Sarkozy à plusieurs reprises entre 2007 et 2012.
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